Le Grand Jacques n’est jamais loin de moi. En ce moment il est bien le seul.
Une matinée bien employée
comment connaître une ville si on n’a pas parcouru sa rue piétonne en long en large et en travers? ce matin, j’ai arpenté la rue Neuve : ses boutiques, ses vitrines, son centre commercial, ses baraques à gaufres, ses bénévoles pétition à la main, ses jeunes filles en bande et en mini-jupes, ses pavés glissants, sa pluie insidieuse et ses porte-monnaie vidés.